Scott Hamilton
1ère partie Imprint of rythm

Date 23 novembre 2019
Lieu Cinéma l'Eden, Louhans
Tarif 28€50
Réserver 07 82 36 87 02
Réservations en ligne
Horaire ??

Scott Hamilton

Scott Hamilton découvre très tôt le jazz grâce aux disques de son père, amateur d'Armstrong, d'Ellington et d'autres anciens ou "classiques". Il apprend le piano et étudie un peu la clarinette, attiré par le saxophone ténor dont il admire quelques maîtres Coleman Hawkins, Ben Webster, Lucky Thompson, Flip Phillips à travers leurs enregistrements.
Paul Gonsalves, comme lui natif de Providence, est l'un des rares qu'il entend en concert lors des passages de l'orchestre d'Ellington.
Mais ce n'est qu'à dix-sept ans qu'il se décide pour le ténor. Après cinq ans de travail, il se rend à New York en août 1976 où, aidé par Roy Eldridge, il trouve vite quelques engagements : avec Hank Jones, Anita O'Day, puis dans l'orchestre de Benny Goodman. À la fin de 1977, il a déjà participé au Festival de Concord aux côtés de Joe Venuti et joué avec un groupe d'autres fidèles de la tradition mainstream : Warren Vaché, John Bunch, Michael Moore, Connie Kay.
Il enregistre son premier disque au cours de la même année. De nombreux autres suivront (avec Bunch et Vaché encore, Nat Pierce, Dave McKenna, Jake Hanna, Red Norvo, Al Cohn, Buddy Tate, Woody Herman, la chanteuse Rosemary Clooney, Benny Carter, Charlie Byrd, Flip Phillips, Gene Harris, Gerry Mulligan, Ruby Braff, etc.), tandis que se constitue le trio régulier (Phil Flanigan, Chris Flory, Chuck Riggs) qui va désormais l'accompagner dans d'autres disques et de très nombreux concerts ou festivals (aux États-Unis, au Japon, en Europe), où il s'est produit également avec le Newport All Stars de George Wein.

imprint of rythm

« Une partie de plaisir pour ces rythmiciens qui jouent de leurs complicités percussives (le piano est aussi un instrument à percussion) ».
« Bref ce duo piano/batterie fait du beau et bon jazz moderne, quelque chose de bien foutu. Comme ils sont partageurs les amis Laurent et Hervé, la fête fut belle... »
Martin Klébinder (jazz-rhone - alpes)
« Une sorte de voyage, où l’on découvre qu’un duo piano et batterie est à la fois original et indispensable. » Pascal Dérathé (jazz-rhone-alpes)

« Les deux larrons se font la belle, partent loin et se retrouvent à la fin sans jamais s’être vraiment séparés ». Marc Dazy (Le progrès)